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TABLE ANALYTIQUE DES INSTITUTIONS LITURGIQUES

C

 

CABASILAS (Nicolas), grec schismatique, compose une Exposition de la liturgie (S. XIV), I, 375.

 

CABASSUT (Jean), oratorien, insère plusieurs dissertations liturgiques dans sa Notitia ecclesiastica (S. XVII), II, 109.

 

CABHAM (Thomas de), archevêque de Cantorbéry, auteur d'une somme de Ecclesiasticis officiis (S. XIV), I, 375.

 

CAHIER (le P.), S. J. Son travail sur la peinture des manuscrits au moyen âge, III, 3fio, 361.

 

CALENDRIER ROMAIN. Benoît XIV est frappé de la modification profonde que l'institution des nouvelles fêtes apporte au calendrier; il n'ajoute aucun office au bréviaire, II, 468, 470.

 

CALENDRIER GREGORIEN. Le calendrier, à l'époque du Concile de Trente, tombé dans un désordre complet; son importance pour la liturgie et les relations des hommes entre eux; le Concile en renvoie la réforme au Pape; Grégoire XIII nomme une Commission de savants astronomes, dont le travail est approuvé; tous les Etats catholiques et protestants finissent par accepter le nouveau calendrier, la Russie seule exceptée, I, 461, 462.

 

CALLIGRAPHES liturgistes. Liste des plus célèbres calligraphes depuis le vie jusqu'au XV° siècle, III, 276-286; formules touchantes écrites sur les œuvres des calligraphes grecs, 287; calligraphes  des XVI°, XVII° et XVIII° siècles, 335, 336, 337, 338.

 

CAMBRAI adopte le romain pur, I, 449.

 

CANCELLIERI (François), prélat romain; ses œuvres liturgiques (S. XVIII), II, 579. Canonisation  équipollente;  ce qu'on entend par le mot équipollente; elle a la même valeur que la canonisation formelle; le  culte du  plus grand nombre des saints repose uniquement sur un jugement de cette nature, II, 405.

 

CANONS apostoliques. C'est un recueil de la discipline générale des premiers siècles; ils sont des sources précieuses pour la science de la liturgie primitive, I, 60, 61.

 

CANONS d'autel. Observations sur les canons d'autel trop souvent décorés sans intelligence, III, 404.

 

CANONS évangéliques d'Eusèbe, év. de Césarée, sorte de concorde en chiffres des quatre évangiles; les artistes les décorent de nombreux ornements, III, 351, 353, 354.

 

CANON de la Messe. Voir : Messe. Cantiques en langue vulgaire. Abus introduit dans nos églises, de remplacer les pièces liturgiques par le chant de ces cantiques; cet usage ne devrait être toléré que dans une mission, III, 153, 261.

 

CAPECE (Gaëtan-Marie), théatin, auteur d'un ouvrage liturgique (S. XVIII), II, 570.

 

 

CAPRARA (Jean-Baptiste), card. légat a latere de Pie VII en France; il célèbre pontifïcalement la messe à Notre-Dame de Paris pour la publication du Concordat, II, 587 ; il réduit le nombre des fêtes chômées, 592 ; son décret et son instruction adressés à tous les évêques de l'empire pour la célébration de la Saint-Napoléon et de la fête du rétablissement de la religion le jour de l'Assomption, 298; règlement sur l'érection des chapitres, IV, 572, 573.

 

CAPISUCCHI (Raymond), dominicain, card., auteur de plusieurs dissertations sur des matières liturgiques (S. XVII), II, 103.

 

CARLOVINGIENS. Voir : Charlemagne.

 

CARTARI (Charles), prélat romain, publie la Rosa d'Oro pontificia (S. XVII),  II, 107.

 

CARTIER (Dom Germain), bénédictin, auteur de la Psalmodiae ecclesiasticae dilucidatio (S. XVIII), II, 491.

 

CASALI (Jean-Baptiste), son grand ouvrage de Veteribus sacris christianorum ritibus, etc. (S. XVII), II, 92.

 

CASSANDRE (Georges), docteur flamand, publie son ouvrage sur toutes les parties de la messe. (S. XVI) I, 473.

 

CASSIEN (Jean), il donne dans ses Institutions monastiques des détails intéressants sur la forme des offices divins dans les monastères d'Orient, I,  141.

 

CASSITTO (Louis-Vincent), dominicain, publie un ouvrage sur la liturgie dominicaine (S. XIX), II, 677.

 

CASTELLANI (Albert), dominicain, son livre intitulé Sacerdotale (S. XVI), 1, 472.

 

CATACOMBES de Rome. Les chrétiens s'y réunissent pendant les persécutions et ils y vont honorer la mémoire des martyrs pendant la paix, I, 49.

 

CATALANI (Joseph), ses écrits liturgiques (S. XVIII), 11,490; il blâme sévèrement les évêques qui avaient confié la rédaction de leur liturgie à des hommes suspects d'hérésie, II, 391.

 

CATECHISME romain, bref de Clément XIII par lequel il exhorte les évêques à répandre le catéchisme parmi le clergé, note explicative de ce Bref, IV, 323,  325.

 

CAVALIERI (Joseph-Michel), augustin, public un commentaire sur les décrets de la congr. des Rites (S. XVIII), II, 492.

 

CAYLUS (Daniel-Charles-Gabriel de), évêque d'Auxerre, janséniste opiniâtre. Il donne un nouveau bréviaire à son diocèse composé par un janséniste, II, 241, 242; il publie un mandement contre la légende de saint Grégoire VII; analyse de ce mandement, II, 419. Voir : Grégoire VII. Bref de Benoît XIII condamnant la lettre pastorale de l'évêque d'Auxerre, 43o ; conduite de cet évêque dans l'assemblée du clergé de 1730, 439; il publie une nouvelle liturgie, II, 241, 242.

 

CECCONI (Léonard), évêque de Montalte, auteur d'une dissertation sur l'origine, l'usage,  etc., de  Valleluia (S.  XVIII), II, 495.

 

CELESTIN (saint), pape, il déclare que la règle de la foi découle de la règle de la prière, I, 124; IV, 342, 376; il établit le chant de l'introït et  du  graduel, I, 137.

 

CELLINI (Benevenuto), ciseleur liturgiste, III, 414.

 

CELSE l'épicurien. Il constate l'existence de livres contenant des exorcismes, III, 35.

 

CENSI DE SABELLI, card., rédige un livre de Censibus s. romanœ ecclesiœ (S. XII), I, 312.

 

CEREMONIAL. Recueil contenant les rubriques de la messe, son origine, ses premiers rédacteurs, I, 370, 371, 373 ; le dernier ordre romain composé par Paris de Grassi, sert de base au cérémonial, 374.

 

CEREMONIAL des évêques. Correction de ce cérémonial par ordre de Clément VIII ; bref du 14 juillet 1600 , dans lequel il est dit que le cérémonial a été mis en harmonie avec le pontifical ; obligation pour toutes les églises de le recevoir; une partie de celles de France ne l'adoptent pas, I, 467, 468, III, 395. Innocent X promulgue une nouvelle édition corrigée du cérémonial des évêques en 1650, II, 91 ; il est corrigé et augmenté par les soins de Benoît XIII, II, 467, et de Benoît XIV, III, 23o.

 

CEREMONIES de l’Église, pourquoi elles l'emportent sur les cérémonies civiles, et les chants sacrés sur les mélodies profanes, III, 269.

Livre de D. Claude de Vert : Explication des cérémonies de l’Église, dans lequel il matérialise tout ce  qu'il  y a de plus élevé dans les rites sacrés de la messe et des sacrements, II, 190 et suiv. réfutation de cet ouvrage par Languet, plus tard archev. de Sens, 198 et suiv. déplorable influence du livre de D. Claude de Vert sur l’Église de France au XVIII° siècle, 197; Languet ramène la discussion à quatre points principaux : institution des cérémonies de l’Église par des raisons de culte et de symbole; quelques-unes, à l'origine, par nécessité; ces dernières conservées par l’Église dans le but d'instruire les fidèles; les sens allégoriques ou symboliques adoptés par l’Église entière et les traditions les plus anciennes, II, 199, 200; fausseté de la comparaison du ruisseau sur laquelle D. Claude de Vert appuie sa théorie matérialiste sur les cérémonies de l’Église, 187; importance et sens mystérieux des cérémonies dans la religion chrétienne, 181; déplorable influence du livre de D. CI. de Vert sur l'Église de France au XVIII° siècle, 197; sa lettre à Jurieu dans laquelle il essaie d'atténuer l'effet de son livre, 184; approbation qu'obtient cette lettre, 188; le renversement de la tradition dans les bréviaires et les missels en France amène à matérialiser les  cérémonies  du  culte, II, 183.

 

CESAIRE (saint), évêque d'Arles,compile le premier homiliaire connu, et donne une règle aux moines, remplie de détails sur la forme des heures canoniales, I, 143 ; il enseigne que l'épiscopat prend son origine dans la personne de saint Pierre, III,  préf. LXVI.

 

CHARIOT (Dom), bénédictin, peintre liturgiste, III, 38o.

 

CHAISE de l'évêque, siège inaliénable, établie dans chaque église, au centre de l'abside, d'après le témoignage de saint Cyprien, I, 52.

 

CHANOINES réguliers de Sainte-Geneviève de Paris adoptent la liturgie publiée par l'archev. Ch. de Vintimille; lettre pastorale de l'abbé proclamant l'intention d'aider à l'établissement du gallicanisme, II, 33o.

 

CHANT. Il est nécessaire à l'Église pour exprimer ses sublimes images et ses sentiments de joie et d'admiration envers Dieu, I, 4.

 

CHANT alternatif. Pour lutter avec avantage contre les ariens, Diodore et Flavien établissent  à Antioche le chant alternatif, et y associent les fidèles, I, 96 ; saint Chrysostome transporte cet usage à Constantinople pour les mêmes motifs, 96, 97 ; cette heureuse innovation étendue à l’Église de Milan par saint Ambroise; émotion d'Augustin, encore pécheur, quand il entend ces chants sacrés, 97, 98; saint Ambroise fait chanter des hymnes de sa composition, 98, 99; l'histoire de l'introduction du chant alternatif prouve que la liturgie est la prière à l'état social, 99.

 

CHANT ecclésiastique. Pépin et Charlemagne agissent de concert avec le pape pour introduire le chant ecclésiastique en France, IV, 556, 557; accusations gratuites de Mgr Fayet sur l'influence de ces princes, 559 ; elles sont démenties par les faits, 56o ; Robert le Pieux, compositeur de chant liturgique, I, 287, 204; saint Fulbert compose les paroles et le chant de trois répons pour la Nativité de la sainte Vierge, 295; léchant ecclésiastique très florissant dans les monastères au XI° siècle, 291 ; caractère du chant pendant les XI° et XII° siècles, 293 ; Guy d'Arezzo simplifie l'enseignement du chant en fixant l'usage de la portée musicale, 294; invention du système de la gamme actuelle, 297; apogée du chant liturgique au XIII° siècle; sa supériorité éclate surtout dans les séquences, I, 335; défaut d'originalité dans les chants de l'office et de la messe du Saint-Sacrement; le XIII° siècle dédaigne de s'exercer sur les morceaux en prose, 336 ; analogies que présentent les vicissitudes du chant ecclésiastique au moyen âge avec la marche de l'architecture religieuse, 337, 338.

Altération du chant par suite de l'introduction du Déchant; ce qu'on entend par ce mot: son origine, I, 359; Bulle Docta sanctorum de Jean XXII, flétrissant les innovations en matière de chant, et défendant sous les plus grandes peines de renouveler dans l'office divin et la célébration de la messe, les inconvenances qu'elle signale, 350, 351, le même pontife permet toutefois les accords qui respectent l'intégrité du chant; sage discrétion de la papauté par rapport à l'art musical, elle maintient la gravité du chant, mais elle ne proscrit pas une musique sainte, 352; décadence de plus en plus accentuée du chant ecclésiastique et de la musique religieuse, 466. Voir: MUSIQUE. Le concile de Trente prescrit l'étude du chant ecclésiastique dans les séminaires, I, 456; conciles provinciaux chargés de la réforme du chant. 457.

Claude Chastelain, un des rédacteurs du nouveau bréviaire parisien, s'acquiert une réputation en composant le chant des pièces nouvelles du bréviaire de Paris et de quelques autres diocèses; sa composition a dans certains morceaux le caractère du chant grégorien, II, 83, 81; Henri Dumont, compose des messes en plain-chant restées célèbres et populaires 84; don miraculeux de poésie, nécessaire aux compilateurs des nouvelles liturgies en France pour refaire à neuf les chants des diverses Eglises, don qu'ils étaient loin déposséder, 356, 357; discernement exquis avec lequel l’Église romaine emploie l'Ecriture sainte de manière à plier ses compositions aux règles du chant; impossibilité de revêtir d'un chant possible les centons bibliques du nouveau parisien: exemples, 369, 370; en abolissant les antiques chants de la chrétienté, les novateurs ont travaillé à l'extinction totale de la poésie, 373; les nouveaux chants sont d'une telle lourdeur que le peuple ne peut plus les retenir; douleur des fidèles de voir supprimer les livres grégoriens, 375, 376; III, 477; impossibilité de trouver au XVIII° siècle des hommes capables de refaire tout le répertoire des chants que l’Église n'a composés qu'avec les siècles, II, 376, 377; témoignage de Poisson sur l'ignorance des nouveaux compositeurs de chant, fautes grossières résultant de cette ignorance, 378, 379; travail de Lebeuf sur le chant. Voir : LEBEUF.

 

CHANT grégorien. Les mélodies grégoriennes sont le produit de la plus noble inspiration catholique; en s'en écartant on est tombé dans le barbare, on y a substitué un genre tout profane, I, 14; saint Grégoire entreprend la correction du Chant ecclésiastique, I, 161; caractère du chant grégorien qui conserve les dernières traditions de la musique des Grecs, 162 ; l'archichantre de Saint-Pierre de Rome envoyé en Angleterre par le pape Agathon pour y régler l'ordre annuel du chant de l'office divin, 168, 169. Le pape Etienne II envoie en France à la demande de Pépin, douze chantres pour y  établir  les saintes traditions grégoriennes, I, 236; des moines sont envoyés à Rome par Remedius archevêque de Rouen afin de s'exercer dans le chant ecclésiastique, 236, 237; malgré les soins de Pépin et de Charlemagne,'les chantres français dénaturent le chant grégorien, 238, 239; plaintes que ces altérations arrachent au biographe de saint Grégoire, 239; dispute entre les chantres romains et les chantres français pendant le séjour de Charlemagne à Rome, belles paroles de ce prince en faveur du chant grégorien, 240; le pape Adrien envoie deux chantres en France sur la demande de Charlemagne: l'un de ces chantres va établir une école de chant à Metz et l'autre est envoyé à Soissons, 240, 241 ; l'école de Metz devient la plus célèbre de toute la France, 241,242; pourquoi Charlemagne était-il si zélé pour le chant ecclésiastique? 243; les traditions du chant mieux conservées dans les corps religieux que dans le clergé séculier, 242; les antiphonaires de saint Grégoire, notés par le pape Adrien, sont envoyés en France sur la demande de Charlemagne, 240, cette mission des deux chantres romains diversement rapportée par les trois écrivains qui en ont laissé le récit, 241 (note).Voir: Antiphonaire. La réaction liturgique en France, en faveur des anciennes traditions, amènera la restauration du chant grégorien, II, 63o; les comités historiques formulent un vœu pour le rétablissement des livres du chant grégorien, 632; difficultés qui s'opposent à la réalisation de ce vœu, 633 ; IV, 84.

 

CHANTRE. Ancienneté de cette dignité dans l’Église, prouvée par les canons apostoliques, I, 61; école de chantres établie et dotée par saint Grégoire; elle existe encore aujourd'hui et fait seule le service du chant à la chapelle papale,etc., 1,  ig5. Voir : Chant grégorien.

 

CHAPEAUVILLE (Jean) auteur de deux livres liturgiques (S. XVII), I, 523.

 

CHAPITRES des cathédrales : règlements du cardinal Caprara sur l'érection des chapitres des cathédrales en France après le concordat, IV, 572, 573.

 

CHARDON (Dom Charles), bénédictin, auteur d'une histoire  des sacrements (S. XVIII), II, 494.

 

CHARLEMAGNE. Il compose quelques traités liturgiques (S. VIII), I, 179 ; ses tentatives inutiles pour abolir le rite ambroisien, I, 187; il atteste dans les  livres  carolins que Pépin avait aboli la liturgie gallicane pour plus grande union avec l’Église romaine, I, 235, 236; son zèle pour la liturgie; son assiduité aux offices du jour et de la nuit; il charge Paul diacre, moine du Mont-Cassin, à composer un recueil d'homélies des saints Pères pour le service de l’Église, 243; ses capitulaires pour l'introduction de la liturgie dans son empire, I, 237, 238; il demande au pape Adrien un exemplaire du sacramentaire grégorien et des chantres habiles pour rétablir les traditions grégoriennes en France, 238, 240 ; paroles remarquables de ce prince sur ce chant, 240.

Son zèle pour l'exacte transcription des livres liturgiques, III, 273; il s'essaie à la calligraphie des livres liturgiques, III, 350; ses Heures à la bibl. du Louvre, III, 358; mission des princes carlovingiens; ils fondent l'indépendance temporelle des Papes; prêtent leur appui à la réformation du clergé par leurs capitulaires; substituent la liturgie romaine à la liturgie gallicane, I, 233, 234 et suiv. ; comment Mgr Fayet interprète cette intervention des princes carlovingiens dans les matières liturgiques, IV, 559.

 

CHARLES BORROMEE (saint), archev. de Milan : son zèle pour le maintien du rite ambrosien ; lettre écrite à ce sujet à un de ses amis de Rome, I, 190, 428 ; III, 4q5 ; il ne croit pas pouvoir étendre cette liturgie aux églises de son diocèse, III, 569; il corrige le missel et le rituel ambrosien, 239 ; sa sollicitude à faire observer dans sa province les prescriptions de saint Pie V, touchant les nouveaux livres liturgiques, I, 428, 429; son admirable exactitude dans l'exercice de la liturgie, III, 15.

 

CHARLES LE CHAUVE. II se montre zélé à l'exemple de ses prédécesseurs à propager les usages romains dans toute la France, I, 253; on lui attribue quelques pièces liturgiques (S. IX), I, 258.

 

CHARLES X roi de France : son sacre à Reims; mutilations opérées sur le cérémonial antique de cette fonction par le conseil des ministres, II, 599; le roi touche les écrouelles malgré l'opposition de ces mêmes ministres, 600.

 

CHARTRES. Publication de la liturgie chartraine en 1782; cette liturgie répudie les glorieuses traditions de l'église de Chartres; scène sacrilège accomplie dans la cathédrale pendant la Révolution, II, 520.

 

CHARVOZ (l'abbé) compose un livre sous ce titre : Précis d'antiquités liturgiques (S. XIX), II, 688.

 

CHASTELAIN (Claude). Il exerce une espèce de dictature sur la liturgie, dans toutes les églises qui prennent part à l'innovation, II, 722; il travaille à la réforme des livres liturgiques de Meaux de concert avec l'abbé Ledieu, 722 et suiv., 732, 740, 741, 743; il s'acquiert une réputation en composant le chant des pièces nouvelles du bréviaire de Harlay, archev. de Paris, II, 83, 84.

 

CHATEAUBRIAND. L'apparition du Génie du christianisme, véritable triomphe pour la religion; ce livre commence la réaction contre la secte anti-liturgiste, II, 587; la procession de la Fête-Dieu à Lyon en 1801, décrite par Chateaubriand, 584.

 

CHILPERIC, roi de Soissons, compose des hymnes et des messes, d'après saint Grégoire de Tours (S. VI), I, 145.

 

CHINE. Les Jésuites demandent à Rome l'usage de la langue chinoise dans la liturgie; arguments sur lesquels ils appuient leur demande; refus du Saint-Siège,  III, 13o-139.

 

CHINON (collégiale de Saint-Maixme de). Arrêt du Parlement de Paris qui permet l'introduction du bréviaire romain dans cette collégiale, il affirme ainsi le droit royal sur la liturgie, I, 504.

 

CHIRAL (C), curé dans le diocèse de Lyon, donne un traité sur l'esprit des cérémonies de l’Église (1836), II, 687.

 

CHORON (Alexandre-Etienne) musicien, publie une brochure sur la nécessité de rétablir le chant de l’Église de Rome dans toutes les églises de l'empire français (S. XIX), II, 679.

 

CIAMPINI (Jean-Justin), prélat romain, auteur de plusieurs ouvrages liturgiques (S. XVII), II, 112.

 

CIMETIERES. Un canon du concile d'Elvire, défend d'allumer des cierges dans les cimetières en plein jour, I, 63.

 

CIRUELO (Pierre), chan. de Salamanque, auteur d'une exposition du Missel (S. XVI), I, 472.

 

CITEAUX. Le chapitre général charge saint Bernard de reviser les livres du chœur, I, 292.Voir: Liturgie monastique.

 

CHRETIENS. Ferveur des premiers chrétiens à célébrer la louange divine sous des formes et à des heures déterminées, témoignage de saint Paul, I, 44; description des assemblées chrétiennes par saint Justin, 53; leur attitude pendant la prière, décrite par Tertullien, 56.

 

CHRODEGANG (saint), évêque de Metz, insère dans sa Règle pour les chanoines diverses particularités relatives à la liturgie de son temps (S. VIII), I, 178. Il fonde l'institution des chanoines, vivant sous une règle et desservant l'église cathédrale, il introduit dans son église le chant et l'ordre des offices de l’Église romaine, I, 234, 342.

 

CLAIRE (Marie), jésuite, auteur d'hymnes ecclésiastiques (S. XVII), II, 102.

 

CLAUDIEN MAMERT, prêtre de Vienne, ses œuvres liturgiques (S. v), I, 142.

 

CLEMENT (saint) Pape, est-il le compilateur des constitutions apostoliques ? 1,68

 

CLEMENT VIII pape. Il défend d'admettre parmi les religieux de chœur ceux qui ne présenteraient pas l'espoir d'être élevés au Sacerdoce I, 102; il revise le bréviaire romain, 469, le Missel, 470. On doit à ce pape la correction du Pontifical et du Cérémonial des Evêques, I, 466 467. Il ajoute au calendrier plusieurs nouveaux saints, I, 519, 52o.

 

CLEMENT XI pape. Lettre de ce pontife aux évêques de l'Assemblée du clergé de 1705 se plaignant des écrivains qui se disent catholiques et qui parleurs écrits renversent les droits du Saint-Siège, II, 126. Il ajoute des prières dans les livres liturgiques contre les tremblements de terre, il compose un nouvel office de saint Joseph, II, 465, 466; il accorde à l'ordre de Citeaux et à la Congrégation du Mont-Cassin le privilège de faire l'office de saint Grégoire VII, 410.

 

CLEMENT XII pape. Il institue ou élève d'un degré neuf fêtes de Saints, II, 467.

 

CLEMENT XIII pape. Il établit la fête du Sacré-Cœur et élève plusieurs fêtes de Saints d'un degré, II, 564.

 

CLEMENT XIV. Il établit des fêtes de Saints et en élève d'autres d'un degré, II, 564.

 

CLEMENT D'ALEXANDRIE. Il écrit sur la célébration de la Pâque, son livre du jeûne; son hymne au Sauveur, I, 69, 70.

 

CLERGE. Il était nombreux dans les premiers siècles et se réunissait autour de l'évêque dans les grandes villes, I, 51.

 

CLICHTOUE (Josse), docteur de Paris, ses œuvres liturgiques (S. XVI), I, 471.

 

CLOVESHOE, concile d'Angleterre en 747; il ordonne de suivre la règle de l’Église romaine dans la tradition liturgique, I, 269.

 

CLOVIO (Jules), peintre liturgiste, III, 379.

 

CLUNY (ordre de). Le chapitre général est maintenu, jusqu'à la suppression des ordres monastiques, dans la possession d'élire l'abbé général, pourvu que l'élu ne fût pas moine; droit de cet ordre de réformer, mais non de changer totalement, ses livres liturgiques; le chapitre général confie à Dom Claude de Vert le soin de réformer le bréviaire, II, 59, 60; la ruine de Cluny, châtiment du mépris de l'autorité du Saint-Siège, 65, 66. Voir : Bréviaire de Cluny.

 

COCHIN (Jacques-Denys), curé de Saint-Jacques du Haut-Pas, à Paris, compose des Prônes sur toutes les parties de la Messe (S. XVIII), II, 581.

 

COCHLEE (Jean), chanoine de Breslau, compilateur et éditeur d'un grand nombre de traités liturgiques (S. XVI), I, 472.

 

CODDE, archevêque de Sébaste, évêque de Cassorie en Hollande, oratorien janséniste : il introduit l'usage de la langue vulgaire dans l'administration des sacrements; il est déposé par Clément XI, II 200, 201.

 

COFFIN (Charles), laïque, janséniste appelant, principal du collège de Beauvais, compose les hymnes du bréviaire de Paris, II, 252 ; son hymne des vêpres du dimanche contient un vers dont l'intention est hérétique, II, 272 ; adresse avec laquelle il fait sentir dans ses hymnes son intention secrète sans jamais être trahi par l'expression ; indignité irrémédiable de cet hymnographe par son opposition à l'Église, 277. Une strophe de l'hymne pour l'office de la chaire de Saint-Pierre à Rome excite des réclamations comme contenant une locution favorable à l'arianisme, II, 289; il remanie plusieurs hymnes de l'office de la sainte Vierge, 284, 285. L'archevêque de Paris, de Beaumont lui refuse les Sacrements : réflexions des Nouvelles ecclésiastiques à ce sujet; le Parlement de Paris est saisi de cette affaire; raisons sur lesquelles il s'appuie pour condamner la conduite de M. de Beaumont, II, 252 et suiv.

 

COISLIN (le card. de), grand aumônier de France, son caractère peint par Fénelon ;  manquant de science, il laisse aux docteurs jansénistes le soin d'administrer son diocèse, II, 128.

 

COISLIN (Henri-Charles de), évêque de Metz, analyse de son mandement contre l'office de saint Grégoire VII, II, 4»3 ; Voir : Grégoire VII (saint) ; Benoît XIII condamne ce mandement par un bref, 432.

 

COISLIN (Pierre du Cambout de), card. évêque d'Orléans. Il donne à son Eglise un bréviaire entièrement nouveau, 11,219 et suiv.

 

COLBERT (Charles-Joachim), évêque de Montpellier, janséniste appelant. Il condamne dans un mandement l'office de saint Grégoire VII avec les plus dures qualifications, II, 422 ; bref de Benoît XIII portant condamnation de ce mandement. 433. Plaintes de l'Assemblée du clergé de 1730 contre ce prélat rebelle à l’Église depuis 16 ans, II, 441 ; il publie une lettre pastorale contre la harangue de l'évêque de Nîmes à Louis XV, dans laquelle les jansénistes avaient été complètement flétris, 441, 444.

 

COLLECTE de la Messe, forme de prière qui résume les vœux de l'assemblée, avant l'oblation du sacrifice; elle appartient à l'institution apostolique, I, 33. Collecte faite pendant la Messe en faveur des pauvres, I, 54.

 

COLLET. Son jugement sur les nouveaux bréviaires; il attribue à la brièveté le principal motif du succès, II, 389.

 

COLLIN (Nicolas), prémontré auteur de plusieurs traités liturgiques (S. XVIII), II, 576.

 

COLLOREDO (Jérôme), archevêque de Salzbourg, il publie en 1782 une Instruction pastorale contre le culte des Saints, II, 529.

 

COLOGNE (Concile de) en 1536, projet de réforme liturgique dressé par ce Concile, I, 411.

 

COLOMBAN (saint), abbé de Luxeuil (S. VI). Il est auteur d'une règle, dans laquelle il institue pour les moines, une forme d'office différente de celle établie par saint Benoît, I, 147.

 

COLONNA (Marc-Antoine-Marsile), cardinal archevêque de Salerne ; auteur d'un traité sur l'eau bénite (S. XVI), I, 477. Il fait ouvrir le tombeau de saint Grégoire VII,  et place  dans son Église cathédrale une inscription pour rappeler cet événement, II, 404.

 

COMMUNION. Elle est prescrite au clergé comme aux fidèles, sous peine d'être séparé du reste du peuple, I, 61. Voir : EUCHARISTIE.

 

COMO (Église de). Elle observe le rite patriarchin d'Aquilée jusqu'au pontificat de Clément VIII, I, 431.

 

CONANTIUS, évêque de Palentia, compose des hymnes, pour l'office gothique, et des oraisons sur tous les psaumes (S. VII), I, 175.

 

CONCILES : Canons touchant les questions liturgiques.

 

CONCILES provinciaux de France décrétant que la liturgie réformée de saint Pie V serait reçue dans tous les diocèses. voir : FRANCE.

 

Conciles du IV° siècle : Canons de ces Conciles relatifs au service divin, I, 104, 103. Concile d'Agde en 506 décrète l'unité de la liturgie dans la province,  III, 471 ; 1, 126. Concile de Barcelone (1068), décrète l'abolition de la liturgie  gothique  en Catalogne,  I,  270. Concile  de Brague (563), défend de chanter dans les Églises aucune composition  poétique, hors les psaumes, I, 203. Canons de  ce Concile, 127.  Concile de Burgos (1085), promulgue l'abolition de  la liturgie  gothique dans les royaumes de Castille et de Léon, I, 274. Concile de Chester en Angleterre (H57), enseigne que les évêques sont les vicaires de Pierre, III,  préf. LXII. Concile de Cloveshoé en Angleterre (747) ordonne de suivre en  tout la tradition de la liturgie romaine, I, 169. Concile de Cologne (1536), projet de réforme  liturgique dressée par ce Concile, I, 411. Concile d'Epaone  (517), il décrète que dans la célébration des offices divins les évêques doivent observer l'ordre gardé par le métropolitain, I,  126, 127. Concile de Florence  promulgue un  décret par lequel  il déclare que  le  Pape est  le vicaire de Jésus-Christ, III,  préf. LXVII. Concile de Francfort  (794), déclare que la liturgie romaine peut seule être citée comme  autorité,  I, 201.  Concile de Gironne (IV° siècle), il règle l'unité  liturgique  dans  la province  Tarragonnaise, I,  127. Concile de Jacca en  Espagne (1063), ordonne de ne  célébrer qu'à la manière  romaine  I, 269.  Concile  de Laodicée (3oo), il ordonne de rejeter certains psaumes  fabriqués  par des particuliers, I, 203. Concile de Malines (1607), prescrit pour la réforme liturgique les mêmes règles que ceux de France, I, 449. Concile de Mayence (813), décrète qu'on suivra le sacrementaire de saint Grégoire dans l'administration du baptême, I, 238. Concile de Milève (416), décrète le principe de l'unité liturgique dans les limites de chaque province, I, 124. Concile de Reims (900), reconnaît que l'autorité a été conféré aux évêques par saint Pierre, III, préf. LXVI. Concile de Rome sous saint Gélase (494), le canon des saintes Ecritures est fixé; le catalogue des apocryphes est dressé, etc., 1, 139. Concile IV° de Tolède (633), établit l'unité liturgique dans toute l'Espagne, I, 129, 152; conserve les hymnes dans l'office divin, 204, 212. Concile de Tolède (1566), décret concernant la réforme du chant, I, 461. Concile XI° de Tolède ordonne que les Eglises de chaque province ecclésiastique suivront dans les offices publics l'usage de l’Église métropolitaine, IV, 499.

 

CONCILE, ou Assemblée des évêques de la province de Tours (1780), on décrète la suppression de plusieurs fêtes; quelques évêques n'adhèrent pas à ce décret, II, 518.

 

CONCILE DE TRENTE. Doctrine du Concile sur l'origine des cérémonies de la Messe, I, 23 ; pourquoi Paul IV suspend les sessions du Concile, 410; les Pères renvoient au Pape le soin de réformer l'ensemble de la liturgie, 413, 414 ; la Congrégation de cardinaux établie par Pie IV pour l'exécution des décrets du Concile 457; il reconnaît en principe la variété des coutumes locales, à propos du sacrement du mariage, I, 51o; il établit la nécessité de la prière par la liturgie sous le témoignage de l’Église, IV, 383 ; il exprime la valeur dogmatique de la liturgie, au sujet du canon de la Messe, 384, 385 ; le roi de France et les Etats généraux prient les Pères de réformer la liturgie, I, 412 ; le Concile défend la musique lascive dans les Eglises, et prescrit l'étude du chant, 456.

 

CONCILE DE VANNES (461), proclame une seule et même règle dans les offices divins, I, 470.

 

CONCILES GENERAUX. Ils n'ont pas reçu le don d'infaillibilité dans les faits historiques,  IV, 425 ; pourquoi saint Grégoire vénère les quatre premiers Conciles généraux à l'égal des quatre Evangiles, 446.

 

CONCORDAT de 1801, sa publication solennelle à Notre-Dame de Paris ; il a une grande portée liturgique, II, 586. Voir : Articles organiques.

 

CONFESSION. Elle est une des formes principales de la liturgie ; par elle l’Église fait hommage à Dieu de la vérité qu'elle en a reçue en redisant le symbole mille fois en sa présence, I, 2, 3 ; IV, 310.

 

CONFIRMATION. L'imposition des mains dans ce sacrement diffère dans l'intention et dans les formules de celle qui a lieu dans les sacrements du baptême et de l'ordre, I, 37.

 

CONGREGATION des Rites. Voir : Rites (Congrégation des).

 

CONGREGATION de France, ordre de Saint-Benoît, reçoit du pape Grégoire XVI, son instituteur, la mission de ranimer les saines traditions de la liturgie; portée de cet acte apostolique, I, préf. XXXV.

 

CONRAD, moine de Scheyrn, célèbre calligraphe du XIII° siècle, III, 285.

 

CONRAD, moine d'Hirsange, auteur d'un traité de Musica (S. XII), I, 312.

 

CONSECRATION, différentes significations de ce mot dans la langue des Pères, I, 160.

 

CONSTANCE de Bourgogne, femme d'Alphonse VI, roi d'Espagne, son influence pour l'introduction de la liturgie romaine en Espagne, I, 274, 275.

 

CONSTANTIN I, empereur. Églises bâties ou dotées par cet empereur en Orient et en Occident, I, 89, 90, 91, 92.

 

CONSTANTIN Porphyrogénète, empereur, écrit un cérémonial sur  les  processions et les autres  Rites de  l'Église (S. X)  I , 261.

 

CONSTANTINOPLE. Constantin fait construire diverses Églises, parmi lesquelles on compte celles de Sainte-Sophie, de Sainte-Irène des douze Apôtres; et l'ordonne de placer la figure de la croix dans tous les lieux publics de la ville, I, 90. Saint Grégoire le Grand déclare que l'Église de C. P. est sujette du siège apostolique, 1, 161 ; différence de quelques usages liturgiques des Églises romaine et grecque, 159, 160.

 

CONTITUTIONS APOSTOLIQUES, recueil liturgique dont la  compilation remonte au II° ou III° siècle ; il renferme l'ordre de l'office divin, et le sens mystique de chaque heure, I, 44, 45,68; III, 26, 27.

 

CONSTITUTION civile du clergé. Elle professait une doctrine hérétique en défendant de reconnaître les prélats établis par l'Église ; elle était l'œuvre des avocats au Parlement, III, préf. XLIII, XLIV.

 

CONTAMINE (Cousin de), compose un traité critique sur le plain-chant, usité alors dans l'Église (S. XVIII), II, 496.

 

CONTES. Voir : Hodencq.

 

COPETI (Pascal), chanoine, auteur de huit dissertations sur la liturgie (S. XVIII), II, 573.

 

CORNET (Nicolas), son zèle contre le jansénisme, loué par Bossuet, III, 172.

 

CORSETTI (Barthélemi), auteur de l'ouvrage : Praxis Saorrum rituum (S. XVII). II, 95.

 

COSME, évêque de Maiuma, auteur de plusieurs hymnes (S. VIII), I, 178.

 

COSTUMES sacrés. Ils participeront à la régénération de l'art chrétien par le retour aux traditions liturgiques des âges de foi, II, 629. Voir : Habits sacrés.

 

COUPLET, procureur général de la Mission des Jésuites en Chine. Il vient à Rome et à Paris pour travailler à la question de l'usage de la langue chinoise dans la liturgie, III, 127, 128.

 

COUSSEAU (l'abbé), chanoine de Poitiers, plus tard évêque d'Angoulème, son opuscule sur la question du complément du Gloria in excelsis par saint Hilaire, I, 106. Il est l'auteur de deux opuscules sur le Te Deum et sur l'ancienne liturgie de Poitiers (S. XIX), II, 688.

 

CRAPTUS (Théodore et Théophane), moines de Saint-Sabbas, auteurs de plusieurs hymnes (S. IX), I, 256.

 

CRESSOL (Louis), jésuite, auteur d'un ouvrage liturgique (S. XVII), I, 527.

 

CROISET (L. P.). Son année chrétienne opposée à celle de Letourneux, III, 207.

 

CULTE chrétien. La ressemblance des formes religieuses des Israélites et des Gentils, contribue à l'établissement du culte chrétien, I, 22.

 

CULTE divin. Sa définition; exercé par l’Église en son nom de société, le culte n'est pas distinct de la liturgie, IV, 292, 293, 299. Voir : Religion.

 

CULTE intérieur impuissant sans les moyens visibles de communication institués par J. C., IV, 308.

 

CUPPINI (Joseph) compose des Instructiones liturgicae (S. XVIII), II, 579.

 

CYBO, moine de Lérins, miniaturiste liturgiste, III, 374.

 

CYPRIEN (saint). Il doit être rangé parmi les écrivains les plus importants des matières liturgiques dans les premiers siècles; passage célèbre de son Traité de l'oraison dominicale, I, 73, 74. Il parle des heures de la prière canoniale, I, 46. Peut-on invoquer son témoignage contre les livres écrits de la liturgie de son temps ? III, 38.

 

CYPRIEN, métropolitain de Nisibe, compose un Ordre de l'imposition des mains (S. VIII), I, 179.

 

CYRIAQUE, évêque de Nisibe, nestorien, écrit une Exposition des Mystères (S. VII), I, 175.

 

CYRIAQUE, patriarche d'Antioche; est-il l'auteur d'une liturgie chaldaïque ? (S. VIII), 1, 180.

 

CYRILLE (saint) d'Alexandrie. Il est l'auteur d'une Anaphore en l'honneur de saint Marc, I,  140.

 

CYRILLE (saint) de Jérusalem. Ses catéchèses dans lesquelles sont exposés les rites des sacrements, I, 105; il explique les mystères et le symbole, III, 45.

 

CYRILLE (saint), apôtre des Slaves. Il traduit de concert avec saint Methodius les livres saints en langue slavonne; l'usage de cette langue dans la liturgie concédé par Jean VIII ; effets malheureux de cette concession, III, 67, 104-113.

 

 

 

 

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