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Z

 

ZABARELLA (François), cardinal archevêque de Florence, est mis par Bellarmin au nombre des défenseurs de la doctrine gallicane, XXI, 34; XXII, 491. Chicane de Schelsfrate, qui prétend que ce cardinal refusa de lire les décrets des sess. V et VI au concile de Constance, XXI, 645, 646. Preuves qu'il croyait le concile supérieur au Pape, XXI, 646 et suiv.

ZACHARIE. Ses prophéties, XXIV, 427 et suiv.

ZACHARIE, père de saint Jean-Baptiste ; son incrédulité, VII, 196. Son cantique, VII, 249 et suiv. Ce cantique réunit la doctrine à la beauté du style, I, 403. Il est expliqué, I, 405, 406.

ZACHARIE, Pape, ne déposa pas Childéric, mais répondit à la consultation des seigneurs français, XXI, 135, 154; XXV, 17. Grégoire VII est le premier qui parle de cette déposition, XXI, 353 et suiv. Histoire abrégée de ce qui prépara l'élévation de Pépin et la chute de Childéric, XXI, 356. Ce Pape persista dans l'obéissance des empereurs, XXI, 326.

ZELEPECHIMI (Georges) archevêque de Strigonie et primat de Hongrie, proscrit les articles du clergé de France avec des qualifications odieuses, XXI, 6, 7; XXII, 473. On le réfute, XXII, 101, 102, 564. Son décret censuré par la Sorbonne, XXI, 758.

ZÉNOBIE, reine de Palmyre, se rend célèbre; elle est vaincue par Aurélien, XXIV, 335.

ZENON, empereur d'Orient, se mêle le premier de régler la foi : son Hénotique est condamné, XXIV, 349.

ZISCA (Jean), chef des taborites, l'une des sectes descendues de Jean Hus, excite des révoltes, et commet des cruautés inouïes, surtout à l'égard des moines et des ecclésiastiques. Les frères de Bohême en descendent, selon Rudiger, l'un des frères. Ils refusent les quatre articles accordés par le concile de Bâle, XIV, 549 et suiv.

ZOINARE et les historiens grecs, accusent à tort les papes Grégoire II et III d'avoir manqué de fidélité à Léon l'Isaurien, XXI, 308.

ZOROASTRE. Ses sentiments sur la divinité, convenables en un certain sens au soleil, XXVII, 224, 225.

ZOROBABEL ramène les Juifs captifs, et pose les fondements du second temple, XXIX, 294, 426.

ZOZIME (S.), Pape, est accusé d'avoir approuvé la confession de foi de Célestius, hérétique, XXII, 232. On discute cette imputation, ibid., note. Sa doctrine sur l'observation des canons, XXII, 291. Voy. Sardique.

ZUINGLE (Ulric). Son caractère hardi. Il prend parti pour Carlostad dans la querelle sacramentaire, XIX, 66. Il accorde le salut aux païens; Luther désespère de son salut à cause de cette erreur, que ceux de Zurich défendent mal, XIX, 67, 68. Il nie le péché originel, qu'il appelle un vice, un malheur, une maladie, et non un crime. Ses erreurs sur le baptême, XIV, 69. Voy. Baptême. Songe de Zuingle, dans lequel un fantôme blanc ou noir lui apprend que le signe, dans l'Ecriture, reçoit le nom de la chose; l'Agneau est la Pâque, pour dire qu'il en est le signe. Ignorance de cette explication, XIV, 75. Sa Confession de foi appelée Helvétique, envoyée à Augsbourg, XIV, 94. Voy. Confession d'Augsbourg. Il est tué dans une bataille donnée en Suisse entre les cantons catholiques et les cantons protestants, où les derniers, quoique plus forts, sont vaincus, XIV, 145.

ZUINGLIENS (les) se moquent des équivoques de Bucer, et ne veulent point entendre parler de miracles et de toute-puissance de Dieu dans l'Eucharistie, XIV, 163. Ceux de Pologne disent, dans leur accord avec les luthériens et les bohémiens, que le corps de Jésus-Christ est substantiellement présent dans l'Eucharistie, XIX, 564.

ZURICH. Voy. Genève.

 

 

FIN DE LA TABLE GÉNÉRALE DES MATIÈRES.

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