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Table chronologique

 

O

 

O : c'est le cri du cœur ; toute l'éloquence s'y trouve, XXVII, 598.

OATÉS, ministre protestant, accuse faussement les catholiques anglais d'une conspiration, XXI, 543 et note.

OBÉISSANCE. Sa nécessité dans la vie religieuse, XXVIII, 431. Elle en est le fondement, X, 531. Ses avantages, XII, 190. Ses effets, XXVIII, 197, 198, 284. La grâce du salut y est attachée, XXVII, 628. Elle doit être intérieure, X, 540. Doit régler les dispenses, XXVIII, 373. Exemple d'obéissance dans les personnes qui concourent à la présentation de Jésus-Christ au Temple, XI, 266 et suiv. Joie qu'a Bossuet de l'obéissance des religieuses dont il est chargé, XXVIII, 438.

L'obéissance est due au Pape, à moins que ce qu'il ordonne ne soit contre la foi, XXI, 103,114. Les évêques lui promettent obéissance suivant les Canons, XXII, 202. L'obéissance promise au Pape dans la profession de foi de Pie IV, ne suppose pas son infaillibilité, XXII, 465.

Quelle est l'obéissance que les sujets doivent au prince, XXIV, 8 et suiv. Elle ne doit être altérée par aucun prétexte, XXIV, 11, 12. L'impiété des princes et la persécution n'en dispensent pas, XXIV, 14. L'obéissance aux puissances souveraines, recommandée par les

 

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apôtres aux premiers chrétiens, était d'obligation, et non-seulement de conseil et de plus grande perfection, XV, 287 et suiv. Voy. Sujets.

OBLATION (l’) de l'Eucharistie retranchée dans la messe luthérienne, XIV, 130, 131. Comment l'oblation profite à tout le monde, XIV, 132. Voy. Messe. En quel sens on offre dans la messe pour la rédemption du genre humain. Les ministres contraints d'approuver ce sens, XIV, 224.

OBRECHT (Ulric), préteur royal de Strasbourg, fait abjuration entre les mains de Bossuet; lui donne des éclaircissements sur diverses matières pour ses ouvrages contre les protestants, XXX, 492 et suiv.

OCHlN (Bernardin), moine apostat et marié, ennemi déclaré de la divinité de Jésus-Christ, appelé en Angleterre pour en réformer l'Eglise, XIV, 301. Voy. Réformation anglicane.

OECOLAMPADE (Jean) prend parti pour Carlostad contre Luther dans la dispute sacramentaire, XIV, 66. Il était, comme Mélanchtbon, fort modéré. Son caractère : sa piété tendre. Il se fait religieux dans uu âge mûr: sort de son monastère; prêche la Réforme, et se mortifie à la mode des nouveaux réformés, en épousant une jeune fille, XIV, 72, 73. Au lieu de son ancienne candeur, il ne montre plus que dissimulation et artifice, et meurt accablé des coups du diable, selon Luther, XIV, 145. il avait averti Bucer que ses équivoques de la présence réelle sacramentelle étaient une pure illusion. Les Suisses s'échauffent en sa faveur contre Luther, XIV, 151. Sa conférence avec les vaudois qu'il engage dans la nouvelle Réforme, XIV, 517, 518, 319. Il croit qu'on peut prier les saints de prier pour nous, et en obtenir des secours, XVI, 342.

OEUVRES. Celles de Dieu, selon Luther, quand elles seraient toujours laides, sont d'un mérite éternel, au lieu que celle des hommes, quoique belles en apparence, sont des péchés mortels, XIV, 25. Le mérite des bonnes œuvres a sa source dans la charité habituelle, XXVI, 440. Ce mérite provient de la grâce sanctifiante qui est donnée gratuitement au nom de Jésus-Christ. Erreurs graves que nous imputent les protestants sur cette matière, XIII, 64 et suiv. La nécessité des bonnes œuvres condamnée tout d'une voix, par les luthériens, dans l'assemblée de Vorms, XIV, 338. Les luthériens, en niant leur nécessité, condamnent cette proposition : Les bonnes œuvres sont nécessaires au salut. Jurieu dit qu'il déteste cette erreur, et pourtant la tolère dans les luthériens, XV, 342. De la justification par les œuvres, XIII, 422 et suiv. Du mérite des bonnes œuvres, XIII, 432. Sentiments de l'ancienne Eglise sur cette matière : de saint Augustin : erreurs de Pelage, XIII, 434 et suiv. Doctrine du concile de Trente sur le mérite des œuvres, XIII, 437 et suiv. Quelle est la nature du mérite de nos œuvres, XIII, 442 et suiv. Du mérite que l'Ecole appelle de

 

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condignité, XIII, 444. Les bonnes œuvres des justes sont-elles pures de tout péché et agréables à Dieu? XVII, 417 et suiv., 446 et suiv., 475 et suiv. Leur mérite, XVII, 308, 419, 438, 477, 478, 501, 502. 551 ; XVIII, 12. Leur nécessité pour le salut, XVII, 420, 421, 449, 478, 557. Les œuvres satisfactoires sont admises dans la Confession d’Augsbourg, XIV, 118.

OFFICE divin. Explication des choses qui s'y répètent le plus souvent, V, 208 et suiv. Les principaux Psaumes, Cantiques et Hymnes qui s'y chantent, traduits en français par Bossuet, V, 254. et suiv. Sagesse de l'Eglise dans la distribution des divers Offices, où tous les mystères des deux Testaments sont célébrés et renouvelés, avec une pieuse commémoration des saints hommes qui ont été sanctifiés par ces mystères, XXVI, 354, 355. Voy. Bréviaire.

OISIVETÉ. Combien elle est nuisible aux Etats, XXIV, 200.

OKAM, moine schismatique, est, suivant quelques-uns, l'auteur du sentiment soutenu depuis par les docteurs de Paris à Constance, XXI, 62, 63.

OLIER (Jean-Jacques), curé de Saint-Sulpice à Paris. Eloges que lui donne Bossuet : il l'appelle en témoignage sur la suspension des puissances dans l'oraison, XIX, 613. Il le range parmi les bons spirituels, XXVII, 568. Il demande des éclaircissements sur deux de ses lettres, XXVIII, 673, 674.

OLYMPIADES. Elles tirent leur nom des jeux Olympiques, XXIV, 279.

ONCTION en Jésus-Christ, VII, 223. Ce n'est autre chose que la divinité, VIII, 163, 164. Elle lui a été donnée par le Saint-Esprit, VII, 223 et suiv. Quel en est l'effet, VII, 225. Elle doit nous inspirer deux vertus principales, VII, 226 et suiv.

La Réforme anglicane ôte du sacrement de l'Extrême-Onction, l'onction qu'elle dit introduite dans le dixième siècle, quoique le saint pape Innocent en ait parlé dans le quatrième, XIV, 305. Voy. Extrême-Onction.

OPÉRATIONS. Voy. Ame, Entendement, Esprit, Sens.

OPINION, sa définition, XXIII, 64. Son ascendant sur les hommes, IX, 135.

OPTAT (S.), évêque de Milève, enseigne que l'Eglise est dans l'Etat, et qu'on doit prier pour le prince, même païen, XXI, 352, 353.

ORAISON. Ses règles enseignées par les apôtres et les Pères, XVIII, 369, 370. Comment on en doit juger, XVIII, 371, 372. Comment elle est cachée aux ames simples, XVIII, 373. Son éloge, et difficulté d'en parler, XVIII, 375. Comment l'oraison des solitaires était continuelle, XVIII, 511 et suiv. Moyen de la perpétuer, XVIII, 313 et suiv.; même pendant le sommeil, XVIII, 516. Comment l'oraison ne se connaît pas elle-même, XVIII, 463 et suiv.

 

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Quelle est la meilleure manière de faire oraison, VII, 573, 574; XXVII, 441, 443, 526, 559, 560; XXVIII, 127, 128. Caractères de la véritable oraison, XXVII, 645. En quoi elle consiste, et sa perfection, XXVIII, 137, 138. Défauts à éviter dans l'oraison, XXVIII, 212. Quelle doit être la présence de Dieu dans l'oraison, XXVIII, 142, 143. Conditions nécessaires pour faire une oraison agréable à Dieu, IX, 268. Sa nature; quel est celui qui ne prie pas, IX, 260, 261. Comment l'oraison est une espèce de mort, IX, 267. C'est dans l'oraison que la gloire de Dieu éclate sur nous, IX, 109. Union admirable qui se fait de l’âme avec Dieu dans l'oraison, X, 574. Pratique de l'oraison continuelle, XXVII, 550. Comment il faut considérer Jésus-Christ dans l'oraison, XXVII, 567, 568. La maladie n'est pas contraire à la perfection de l'oraison, XXVII, 424. On doit s'humilier dans l'oraison, XII, 558. Pourquoi on ne connaît pas ce qu'on y fait, XXVII, 579. Il n'est pas besoin de le savoir, XXVII, 606. Point d'oraison plus forte que celle qui part d'une chair mortifiée par la pénitence, et d'une âme dégoûtée des plaisirs du siècle, X, 239. La miséricorde et la toute-puissance de Dieu sujets d'oraison, XXVII, 446. Danger des oraisons extraordinaires, XXVII, 576. Ni Cassien, ni saint Jean Climaque ne parlent de l'oraison de quiétude, XXVIII, 246. Bossuet n'est pas contraire à cette oraison, XXVIII, 249, 267.

Origine de l'oraison passive; explication des termes, XVIII, 518, 519 et suiv. Ce que c'est précisément, XVIII, 521. En quel sens elle est surnaturelle, XVIII, 523. Sentiments de sainte Thérèse et du bienheureux Jean de la Croix, XVIII, 523, 524, 576. L'état passif expliqué en six propositions, XVIII, 523 et suiv. Le libre arbitre y agit, XVIII, 527. Cet état est de peu de durée, XVIII, 528. Cette oraison ne peut être commune à tous, XVIII, 534, 535 et suiv. Toute perfection ne consiste pas dans cet état, XVIII, 538. C'est une grâce gratuite, sans laquelle on peut se sauver, XVIII, 539 et suiv. Où peut mener l'idée perpétuelle passiveté, XVIII, 542 et suiv.

S'opposer au livre des Maximes des Saints, ce n'est point mettre l'oraison en péril, XIX, 375, 376, 377. La perfection ne consiste point dans l'oraison de quiétude, XIX, 518 et suiv. XIX, 597. Ce que c'est que l'oraison de quiétude et d'union, XIX, 584, 583. La suspension de l'intellect y est surnaturelle et discontinue, XIX, 586, 589, 590. Extases et ravissements, XIX, 587. Sentiments de saint Jean de la Croix sur cette matière, XIX, 589; de saint François de Sales, 593; d'Alvarez, 594; de tous les mystiques, 596, 597. Les grâces extraordinaires d'oraison ne prouvent pas toujours la sainteté d'une âme, XIX, 598. La suspension des puissances de l’âme attestée par sainte Thérèse, XIX, 606 et suiv. et par M. Olier, 613. Niée par M. de Cambray sans aucune preuve, XIX, 613 et suiv. La foi ne souffre pas de cette

 

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suspension des puissances, XIX, 608 et suiv. L'amour effectif peut être séparé de l'oraison de quiétude, XIX, 609. Crime de traiter de fanatisme ces dons extraordinaires d'oraison, XIX, 610 et suiv. L’âme toujours active dans l'oraison, selon M. de Cambray, XIX,619 et suiv. Force du libre arbitre, XIX, 620. Saint Bernard cité à faux, XIX, 622 et suiv.

Méthode facile pour faire l'oraison de simple présence de Dieu, VII, 504 et suiv.

Oraison dominicale. Explication de cette prière, V, 82, 83; VI, H, 39. Paraphrase de chaque demande appliquée à la pratique de la charité, VI, 116 et suiv.

L'Oraison dominicale est supprimée par les quiétistes, XVIII, 440,441 et suiv. Elle contient les demandes de la grâce et de la persévérance, XVIII, 445, 446, 489. De la rémission des péchés, XVIII, 452. Ce qu'on demande par le pain de chaque jour, XVIII, 497; et par votre régne arrive, etc., XVIII, 506. Doctrine de saint Augustin sur cette prière, XVIII, 655 et suiv. Elle est expliquée par ce Père et par les prières de l'Eglise, IV, 385. Par saint Cyprien, Tertullien, etc., IV, 387 et suiv.

ORAISONS FUNÈBRES, XII, 439 et suiv.

ORANGE (le second concile d') a défini qu'on doit demander la persévérance, XVIII, 490.

ORANGE (le prince d') persécuté pour cause de religion, remue toute l'Allemagne, XXV, 578.

ORATEUR. Trois choses contribuent à le rendre agréable et efficace, XII, 230. Voy. Prédicateurs.

ORATOIRE. Congrégation fondée par le cardinal de Bérulle. Quel en était le but et l'esprit, XII, 646.

ORDINATION. Elle communique la plénitude du Saint-Esprit, XII, 64. L'ordination des pasteurs conservée dans l'Eglise romaine, de l'aveu de Luther, XIV, 137. La forme de l'ordination réglée par le Parlement en Angleterre, XIV, 298. La validité des ordinations n'y est fondée que sur la formule de la liturgie d'Edouard VI, XIV, 417. Les frères de Bohème dérobent l'ordination dans l'Eglise catholique, XIX, 555.

ORDONNANCE et instruction pastorale sur les Etats d'oraison XVIII, 351 et suiv.

Ordonnance pour défendre la lecture du Nouveau Testament de Trévoux, III, 379 et suiv. — Ordonnances notifiées aux Ursulines de Meaux, X, 512, 513.

ORDRE (l’) ne peut être exclu des sacrements communs à toute l'Eglise, XIII, 73. Définition de ce sacrement : en quoi il consiste, V, 15, 104. Ordre. L'ordre admirable qui paraît dans les choses humaines, considéré

 

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par rapport au jugement dernier : comparaison tirée de l'optique, qui rend cette vérité sensible, X, 226. ORGANES. Voy. Corps, Sens.

ORGUEIL. Sa définition; il cause notre ruine, VIII, 267 ; XI, 133. C'est la maladie la plus dangereuse de l'homme, VIII, 170 ; XI, 460, 540. Il monte toujours, et ne cesse jamais d'enchérir sur ce qu'il est, IX, 140; XI, 470, 471 ; XII, 519. Il attribue tout à soi-même, VIII, 437. Il a fait tomber les anges rebelles, IX, 25 et suiv. C'est la plus dangereuse et la plus pressante de toutes les passions, X, 158. Nature de ce péché, XXVIII, 171, 172. Combien il est à craindre, X, 159; XXVIII, 269. Pensées sur l'orgueil, X, 617. L'amour-propre est la racine de l'orgueil, VII, 436, 437 et suiv. Ce que l'orgueil ajoute à l'amour-propre, VII, 441. Description de la chute de l'homme, qui consiste principalement dans son orgueil, VII, 443 et suiv. Effets de l'orgueil, VII, 444, 449; XXVII, 588. Ses désordres, ym, 480, 481. Comparaison de l'homme amoureux des louanges avec la femme infatuée de sa beauté, VII, 447 et suiv. Dieu punit l'orgueil en lui donnant ce qu'il demande, VII, 452 et suiv. Comment il arrive aux chrétiens de se glorifier en eux-mêmes, VII, 438. D'où vient ce penchant de l'homme à s'attribuer le bien qu'il tient de Dieu, VII, 460 et suiv. Caractère d'un orgueilleux, X, 296.

ORIGÉNE prouve la divinité de Jésus-Christ par le texte du Psaume XLIV : Sedes tua, Deus, etc., I, 427. Il entend du péché originel ces paroles de David : Ecce in iniquitatibus, etc., I, 428, 429. Estime que saint Jérôme faisait de ses commentaires sur l'Ecriture, I, 575. Origène invoque l'ange du baptême, II, 338. Il explique comment les martyrs concourent à la rédemption du genre humain, il, 341 et suiv. Passage de ce Père sur les persécutions, II, 440. Autre passage sur l'obéissance due aux puissances séculières, XXI, 545. Ses œuvres ont été autrefois défendues; on peut les lire à cause de la piété qui y règne, XXVIII, 37.

L'origénisme est condamné par Théophile d'Alexandrie : son jugement est confirmé par le consentement commun et devient définitif, XXII, 182, 183.

ORLÉANS. Voy. Louis.

ORLÉANS. C'est où se fit la première paix des calvinistes révoltés, XV, 521. On y tint un synode pour entretenir la guerre, XV, 537.

OSIANDRE (André) luthérien, invente l’impanation et l’invination, XIV, 52. Il abandonne son église de Nuremberg, dans la crainte des peines dont menaçait l’intérim, et se retire en Prusse, XIV, 327. Sa doctrine prodigieuse sur la justification, ibid. Il plaisantait sur tout, et avait, selon Calvin, l'esprit profane. Mélanchthon blâme son arrogance, ses rêveries et les prodiges de ses opinions, XIV, 328. Il

 

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trouble l'Université de Kœnisberg, où enflé de la faveur du prince, il publie hautement sa doctrine ; ce qu'il n'avait osé faire du vivant de Luther, XIV, 330. On épargne ses erreurs dans l'assemblée de Vormes. Il en triomphe en Prusse, où il rend sa doctrine dominante, XIV, 339.

OSIUS, évêque de Cordoue, distingue les droits des deux puissances, XXI, 282. Il préside au concile de Nicée, XXII, 14, note.

OTHON (saint), évêque de Bamberg, est attaché à l'empereur Henri IV, déposé. Le Pape ne l'en reprend pas, XXI, 407, 408 et suiv. Son vrai nom est Udon, XXI, 410 et note.

OTHON, évêque de Frisingue, atteste la nouveauté du pouvoir que s'attribuait Grégoire VII de déposer les rois, XXI, 130 et suiv.

OTHON Ier parvient à l'empire par le concours du Pape et des Romains, XXI, 377 et suiv.

OTHON IV est déposé par Innocent III, XXI, 447.

OUÏE. Voy. SENSATIONS.

OXFORD (concile d') tenu contre les Albigeois, appelés Poplicains, XIV, 481. Voy. Manichéens.

OZIAS, roi de Juda, règne avec gloire, XXIV, 279. Il est frappé de lèpre pour avoir entrepris sur les droits du sacerdoce, XXIV, 70, 242, 279.

Il fut toujours roi, XXI, 211.

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